
Quand on regarde le nombre d’accidents dans de grandes villes de la République Démocratique du Congo,on se demande si l’autorité étatique est toujours présent dans ce pays.
C’est la jungle totale,les conducteurs de taxi et de bus ne respectent pas le code de la route.
Parmi eux certains roulent sous l’effet de drôle ,de l’alcool au vu et au su des autorités routières.
Il y a personne pour les interpeller afin de les mettre hors d’état de nuire.
Les signaux routiers quasiment inexistants toutes les grandes artères de la ville de Kinshasa et d’autres villes.
- Mise en place d’ un cahier des charges pour les auto-écoles
Dans le pays comme la France,il existe un cahier de charges pour ouvrir auto-école.
La plupart des auto-écoles se trouvent au Congo ne sont pas homologués par l’État.
Elles fonctionnent de manière clandestine et forment des assassins de route.
Les moniteurs n’ont aucun niveau d’études et aucune expérience dans la durée.
Voilà pourquoi, la diaspora congolaise doit investir dans les écoles de conduite pour limiter des cas d’accidents causés par les chauffards.
Ces écoles vont fonctionner en collaboration avec le gouvernement qui leur donneront le cahier de charges pour que les jeunes congolais puissent apprendre de métier dans de bonnes conditions.
- Conditions d’investir de l’auto-école
Pour investir dans l’auto -école, il faut avoir :
- Local qui doit avoir un minimum de 30 m2 pour avoir la possibilité d’accueillir un grand nombre d’élèves.
- Un parc d’automobile des voitures neufs ou moins de 10 ans de double pédalier avec des rétroviseurs additionnels.
- Il faut un programme de formation au standard international de manière à permettre que le permis congolais soit valable dans d’autres pays.
- La tarification doit être égale dans toutes les écoles.
- Les examens de conduite doivent être validés par des agents de l’État spécialisés.
3. Si la diaspora signait un protocole d’accord avec le gouvernement
L’État congolais peut faire confiance à la diaspora congolaise pour gérer cette plate-forme d’encadrement des auto-écoles.
C’est indéniable que la diaspora congolaise connaît l’importance de la formation délivrée dans les écoles Françaises ou ailleurs.
Tout le monde est passé par l’auto-école pour pouvoir conduire ici en France.
Il faut passer au moins 3 ans de temps d’approbation.
Le système de points tel que instaurait en France permet aux conducteurs d’être vigilants en route.
Au départ,vous avez 12 points excepté le jeune conducteur qui possède 6 points .
Chaque conducteur est donc appelé à faire attention pour que son permis ne soit pas retiré.
En cas de contravention,vous perdez vos points qui peut aller jusqu’au retrait du permis.
L’État congolais doit adopter le même système pour éviter des accidents.
4. Il est possible de diminuer des accidents au Congo
- Réformer le système de formation dans les auto-écoles
- Mettre des signaux routiers visibles
- Retrait de points en cas des contraventions.
- Réhabiliter les chaussées pour les piétons
- Interdire des marchands ambulants sur les routes.
- Mettre en place avec la diaspora une plate-forme dans la formation des conducteurs.
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